Nous connaissons tous des victimes de ces agents toxiques, nous entendons leurs inquiétudes, mais je ne pense pas que le projet de loi dont nous débattons soit le bon véhicule législatif pour aborder la question. Il me semble qu'il vaut mieux travailler ensemble pour pouvoir en discuter lors de l'examen du prochain PLFSS. Nous saisissons bien volontiers la main que le Gouvernement nous tend, et nous sommes prêts à travailler d'ici au mois d'octobre à une solution.
Nous avons beaucoup parlé du bien-être animal, c'est vrai, mais en ce qui concerne les victimes de produits phytopharmaceutiques, nous sommes convaincus qu'il faut prendre le temps nécessaire pour trouver des solutions effectives.