Ces viticulteurs sont tout à fait d'accord avec ma proposition.
Un sous-amendement, issu des échanges que j'ai eus cet après-midi avec le rapporteur et la rapporteure pour avis, tend à préciser encore le cadre. Selon moi, il convenait en effet de se demander comment utiliser cette expérimentation de manière beaucoup plus raisonnable.
Pour finir, j'insiste sur le fait qu'il est essentiel d'avancer sur deux points. Nous devons réduire la pénibilité du travail sur les pentes fortes, sans nous limiter à la viticulture, et inciter à l'utilisation de traitements dont l'impact sanitaire et environnemental est moindre. Je compte sur vous pour défendre avec moi ce double objectif.