Or, de ces jours – et de ces nuits, en effet – , beaucoup ne retiendront qu'un amendement sur les chocolatines, problème que nous avons traité, et la question du glyphosate, que nous allons traiter maintenant. Je regrette ce raccourci, alors que ce projet de loi traite aussi du revenu des agriculteurs, de la meilleure manière de tirer notre agriculture vers le haut et de proposer une alimentation sûre, saine, durable et accessible à tous. Ce texte, nous l'avons préparé pendant neuf mois, avec tous les acteurs du secteur.