Encore une fois, nous parlons d'un sujet particulièrement sensible : n'allons pas plomber la compétitivité de nos agriculteurs, d'autant qu'une telle mesure ne résoudrait rien en matière de santé. Nous devons nous laisser le temps de l'adaptation et de trouver les produits de substitution. C'est pourquoi, sur ce point, monsieur le ministre, je vous soutiens.