N'entamons donc pas de débats théologiques entre ceux qui voudraient nous éviter les méfaits du glyphosate et ceux qui en abuseraient de manière quasi complaisante. Le débat n'est pas là ; il consiste à savoir comment sortir d'une pratique dont chacun, y compris le monde agricole, estime qu'elle est regrettable, sans pour autant le faire à un rythme qui handicaperait à bien des égards nos agriculteurs.
Voilà la difficulté dans laquelle nous sommes. Elle n'est pas abstraite : elle se pose réellement, concrètement, aujourd'hui, dans la production agricole.