Cet amendement va dans le même sens. Nous devons nous montrer cohérents dans la rédaction de ce projet agricole que nous portons, pour notre pays, pour l'Union européenne, mais également pour le monde, dans une perspective universelle. C'est bien ainsi que nous entendons le rôle historique de la France sur la scène internationale, face au monde.
En l'espèce, cet amendement tend à interdire de produire, stocker et vendre des produits qui ne sont pas approuvés par les autorités communautaires. Les exporter au-delà de l'Europe n'aurait pas de sens ! Pourquoi faire à autrui ce que l'on ne voudrait pas qu'autrui nous fasse ?
Si nous pensons qu'un produit est dangereux pour nos agriculteurs, nos consommateurs, notre planète, il l'est aussi pour les hommes, les femmes, les agriculteurs, les consommateurs d'autres pays, de l'Union européenne, ou au-delà.