J'ai, pour ma part, simplement affirmé que, compte tenu de la teneur des arguments qui étaient avancés, à une autre époque ils auraient eu pour conséquences les situations que j'ai décrites. J'ai ajouté que, s'agissant des phyto-victimes, le temps était venu pour la majorité de prouver si les valeurs éthiques dont elle se prévaut sont un simple étendard ou sont un gouvernail.
Monsieur le ministre, est-il possible de vous poser ce type de question avec politesse et respect ? Vos propos, quelle que soit la politesse avec laquelle ils sont exprimés, contiennent parfois une réelle violence que nous devons accepter en bridant notre colère. Nous le faisons de bonne grâce. Je vous invite donc, de votre côté, à ne pas déformer nos propos.