Cet amendement, identique aux deux précédents, vise à empêcher l'importation dans notre pays de denrées produites en utilisant des substances interdites dans l'Union européenne. Pour autant, il ne s'agit pas d'un amendement protectionniste.
Mes chers collègues, il est incohérent d'importer, par exemple, des viandes provenant du Brésil ou d'Argentine alors que l'élevage de ces pays ne respecte pas les normes imposées à nos producteurs. L'agriculture française ne peut pas être la variable d'ajustement du commerce extérieur européen.