L'espoir que je nourrissais de voir adopter cet amendement s'éloigne, mais nous ne pouvons pas nous satisfaire d'une réponse consistant à dire que nous devrions renoncer à cet objectif au seul motif que nous ne serions peut-être pas en mesure de déceler les substances en cause. Cela pose en effet problème. J'ai bien entendu ce que vous disiez, monsieur le ministre, mais il aurait alors été bon que nous puissions au moins afficher cette orientation.
Je regrette que vous n'ayez pas proposé un sous-amendement dans lequel nous aurions pu coucher sur le papier ces intentions louables. Il s'agit en effet, je le répète, d'un problème de santé des consommateurs, même s'il s'agit aussi, dans un deuxième temps, d'un problème économique.
Le 24/11/2018 à 16:08, Spark a dit :
La prise de position de ce député est déplorable, puisqu'il n'a pas voté contre l'interdiction du glyphosate.
Or, la nuisance de cette ''chimie'' est évidente, et ce d'autant que Monsanto vient d'être condamné aux Etats-6nis et que plusieurs milliers de procès sont en cours.
La nocivité de cette saloperie est avérée depuis plusieurs années et dénoncée par le corps scientifique, plus précisément par le Professeur Belpomme.
La destruction de l'environnement, l'éradication des espèces naturelles et l'appauvrissement des sols est le résultat de l'emploi à outrance de substances chimiques néfastes. Le Cantal, votre pays d'origine, n'est pas épargné, et ce d'autant que les lobbyes de l'agriculture sont influents
Le 15/06/2018 à 22:07, Spark a dit :
La santé des consommateurs passe d'abord par l'interdiction des pesticides, et en premier par l'interdiction du glyphosate
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