Nous savons que tout cela est régulé, que ces produits sont estimés et que leur efficacité a été jugée. Pourquoi, quand il s'agit de la santé des plantes, de l'équilibre du sol, ne pourrions-nous pas imaginer qu'une profession indépendante se fonde sur un diagnostic pour établir une prescription ? Cette activité s'exercerait dans l'indépendance libérale du jugement – j'emploie volontiers le mot « libérale » : ce n'est pas un trotskisme juridique, mais bien un libéralisme juridique que nous entendons instituer.