celles, funestes, qui contribuent à accroître les charges de nos agriculteurs et celles qui ne serviront à rien, vous ne répondez pas de façon adaptée à la crise agricole.
C'est d'autant plus grave que l'avenir de notre agriculture est incertain : entre la possible diminution du budget de la politique agricole commune, sur laquelle le Président de la République est dramatiquement muet, et l'entrée en vigueur du CETA puis de l'accord avec le Mercosur, les menaces planent !
À ce stade de la discussion, compte tenu des éléments négatifs que j'ai évoqué, des quelques points positifs que nous avons pu ajouter au texte, mais aussi de notre espoir de voir le Sénat l'améliorer encore, notre groupe s'abstiendra.