Je vous demande d'intervenir sur ce sujet, monsieur le ministre d'État.
Se pose encore la question de la prise en charge de la radicalisation, domaine dans lequel nous sommes assez timides. Je sais que des expérimentations sont en cours, mais il faut aller plus loin. On ne peut pas se contenter de dire à une famille qui détecte que son enfant est en train de mal tourner, qu'il fréquente les réseaux sociaux et regarde des vidéos de terroristes, qu'elle doit simplement le signaler à la police. Cela ne me semble pas être la seule réponse adaptée à de telles situations. Le feriez-vous s'il s'agissait de l'un de vos enfants ?