Je ne dis pas cela pour me plaindre, tout au plus pour alerter mes électeurs, qui pourraient s'étonner que j'aie déserté. Non, j'aurai été là tout le temps sauf à ce moment-là, pas de bol !
Quoi qu'il en soit, l'organisation de nos travaux ne peut se poursuivre ainsi. Je terminerai par là : alors qu'on n'a rien fait entre janvier et mars, tout faire entre mi-mai et mi-juin, c'est trop.
Chers collègues de la majorité, quand vous aurez à réorganiser le règlement de l'Assemblée nationale, pensez à ce qui est en train de se passer, parce que ce sont vos conditions de travail qui en dépendent et la façon dont vous êtes capables de donner aux Français les lois dont ils ont besoin !