Je vous répondrai en un mot, monsieur Chassaigne, sans polémiquer. Vous m'avez montré du doigt en demandant qui j'étais. Voilà : je m'appelle Thomas Rudigoz, je suis député du Rhône ; à présent, vous savez qui je suis.
Pourquoi vous ai-je interpellé, peut-être un peu vivement, quand vous avez pris la parole ? Parce que j'avais trouvé votre intervention particulièrement vive, justement, alors que nous étions dans une phase de débat très constructive.