Trois points.
D'abord, je veux vous remercier, monsieur le ministre, car c'est la première fois que vous reconnaissez qu'un certain nombre d'offices ne sont pas d'accord avec ces regroupements. Pour ma part, je crois qu'ils sont encore plus nombreux que vous l'imaginez.
Ensuite, votre liberté de visiter Lunéville la semaine prochaine avec notre excellent collègue Thibault Bazin dépend certes un peu de nous, mais, comme nous l'avons dit hier soir, ce n'est pas notre faute si nous subissons les conséquences de l'organisation actuelle du travail parlementaire. Après avoir eu deux mois, au début de l'année, au cours desquels nous n'avons eu aucun projet majeur à examiner, tout se cumule d'un coup : l'agriculture, le logement, la formation professionnelle et l'apprentissage – que la commission des affaires sociales, dont je suis membre, a examiné cette semaine – , ainsi que les missions budgétaires, qui se réunissent en même temps que la séance publique les jours de semaine. Je ne trouve pas que ce soit une bonne méthode de travail.