Pour nous, le commerce n'est pas le commerce « sec » : il comporte un certain nombre de dimensions associées, et nous souhaitons que les études d'impact puissent refléter l'ensemble des effets attendus des accords, ce qui comprend également les aspects environnementaux.
J'observe que le mandat portant sur l'accord négocié avec l'Australie et la Nouvelle-Zélande comportera une partie consacrée à l'environnement : il faut être également éclairé sur ce point.