Les commissions paritaires régionales prendront en compte à la fois les demandes des intéressés et les besoins des territoires. Il n'y a rien de spécifique au secteur sanitaire et social, même si nous sommes d'accord sur le fait qu'il sera demandeur de formations. On ne peut pas tout réglementer à la place des acteurs. Il faut faire confiance au dialogue social.