Pour continuer à faire de la politique de la manière la plus pragmatique possible, je persiste à penser que cette fonction d'accompagnement professionnel est décisive dans le projet qui nous occupe. Il y a donc besoin d'un engagement public fort. Développer un service public correspondant à cet engagement, avec la maîtrise publique qui va avec, pour donner les impulsions et les orientations nécessaires, me semble constituer la bonne voie.
Aujourd'hui, nous n'y sommes pas, et c'est peut-être là le problème. Nous nous opposons sur le diagnostic, car vous pensez que vous allez régler le problème en privatisant, nous ne le pensons pas. Je maintiens que cette voie n'apportera pas les solutions dont nous avons besoin pour développer correctement l'accompagnement de ces publics.