Je suis étonné par le débat. À nouveau, je ne comprends vraiment pas en quoi vous allez sécuriser davantage les choses. Comme je l'ai dit ce matin, les chefs d'établissements qui procèdent à une confiscation n'ont aujourd'hui aucun problème. Il n'y a aucun risque juridique. Je le répète, cette proposition de loi ne sert à rien. C'est manifestement de la pure communication gouvernementale.