Quand le secrétaire d'État vous a proposé de revenir sur ce dossier dans le cadre de la navette, je ne crois pas que c'était pour l'enterrer – en tout cas, j'en prends l'engagement devant vous, au nom du Gouvernement – , mais parce que nous devons trouver un moyen pour avancer, je ne dirai pas sans faire n'importe quoi, parce que votre amendement, monsieur Ramos, n'est pas n'importe quoi, mais en confortant la rédaction de sorte que l'on puisse aboutir à une solution satisfaisante.
J'entends aussi les oppositions à la multiplication des pré-enseignes et autres affichages sur le terrain, mais un membre du Gouvernement, s'il n'a pas le droit d'exposer un avis personnel, peut néanmoins rendre compte de ce qu'il a entendu, vu et vécu sur le terrain. Répondre aux personnes en difficulté qu'il n'y a pas de problème parce que les clients peuvent consulter internet, ce n'est pas sérieux, c'est manquer de considération envers ces professionnels.