Oui, monsieur le président, sur le fondement de l'article 58, alinéa 1er, relativement à la tenue de nos débats.
Le rythme actuel ne nous permettra pas d'achever l'examen du texte à une heure du matin. C'est un fait. Vous pouvez râler, monsieur le président, nous voulons simplement savoir ce qu'il en est. Sinon, nous nous effaçons, nous vous laissons faire la loi et nous nous en allons.