Cet élargissement du champ évitera de stigmatiser la seule Algérie, qui ne représente qu'une trentaine de millions d'euros de dettes sur un total supérieur à 100 millions. Nous envisageons d'entendre non seulement des responsables de la sécurité sociale, de l'AP-HP, etc., mais aussi des professionnels, ceux qui ont « les mains dans le cambouis ». Ce problème se pose non seulement dans les hôpitaux, mais pour l'ensemble des médecins. S'agissant enfin du calendrier, nous devrions commencer ces auditions en septembre.