J'ai du mal à laisser passer les contrevérités. Nous avons souhaité, à un moment donné, négocier sur le déroulement de la soirée et de la nuit : nous avons alors essuyé une fin de non-recevoir, qui a été suivie d'un chantage aux scrutins publics, chantage qui était lié non pas à l'impossibilité de reprendre les amendements de M. Peu, mais à la durée des débats. Il n'y a aucune désinvolture ni aucun mépris de notre part. Nous sommes prêts à discuter, si c'est de façon intelligente et constructive.