Depuis bientôt un an, dans le cadre de nos rencontres à l'Assemblée et sur le terrain, j'ai acquis le sentiment que le niveau de nos officiers supérieurs était envié par nos alliés. Cela est certainement attribuable à la qualité de leur formation et à l'enseignement dispensé dans nos grandes écoles militaires. Partagez-vous mon sentiment ? Je pense que vous allez me répondre positivement. (Sourires) Et, en second lieu, quelles sont, selon vous, les pistes de progrès pour que nos officiers soient encore meilleurs ?