Que pense le CGET, qui a une vision nationale des choses, de certaines expériences locales, en Dordogne, dans le Lot, où l'on a réussi à remplacer un médecin sans que cela se révèle trop coûteux ? Il serait peut-être intéressant d'examiner les facteurs d'attractivité des endroits qui réussissent.
D'autre part, avez-vous une vision consolidée des aides fiscales et financières consenties, par exemple, pour maintenir un médecin là où il est, ou pour accorder une exonération fiscale au titre de l'installation en zone de revitalisation urbaine à un médecin qui s'est juste déplacé de quelques kilomètres pour en profiter ? Nous parlions du fonctionnement des CPST : mieux vaudrait utiliser cet argent à leur payer un assistant à temps plein que de le dépenser à subventionner une forme de nomadisme médical.