À ma connaissance, une vingtaine de personnes travaille au service du data mining aujourd'hui – en tout cas, ce nombre sera complètement atteint à la fin de cette année. C'est d'ailleurs conforme à nos engagements budgétaires. Je crois que – c'est une négociation que nous avons avec les syndicats dans la fonction publique en général et à la DGFiP en particulier – le fait d'avoir des contractuels permet de travailler plus rapidement sur des questions d'une particulière modernité. Une fois que nous aurons avancé, il me semble que l'objectif sera de tripler le service dans les mois qui viennent, en tout cas à la fin de l'année budgétaire prochaine. Je vois, au visage de monsieur le directeur général des finances publiques, que ce n'est pas tout à fait cela ! En tout cas, l'idée est de doubler au moins le service. Je comprends qu'il en est au début. J'ai cru comprendre que nous pourrions passer à une part très significative, autour du tiers, de contrôles, certes très différents les uns des autres, qui pourraient être effectués par le data mining et les data scientists. Nous y travaillons pour d'autres champs de contrôle, comme le champ URSSAF, avec Mme la ministre des solidarités et de la santé.