La dette de l'État est encore majoritairement détenue par des non-résidents, dans une proportion un peu moindre qu'à une certaine époque, de l'ordre de 55 %. S'observant depuis 2010, cette diminution est due à la politique de la Banque centrale européenne et des banques centrales. En achetant des titres d'État sur le marché secondaire, elle fait mécaniquement augmenter la part qui en est détenue par des résidents.