Il m'est difficile de parler des produits finaux, d'évolution des bonnes pratiques. Il faudrait peut-être reprendre l'appréciation portée dans un précédent rapport de l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques, laquelle avait été reprise par le conseil scientifique du Plan bâtiment durable. En France, une difficulté majeure tenait au transfert dans les bonnes pratiques de l'innovation développée dans les laboratoires publics ou privés. Cela est vrai. Et cela pose la question de la place la recherche technologique. Il s'agit certainement d'un point faible, en particulier dans notre secteur. D'où le développement des plateformes technologiques « bâtiment Grenelle », qui sont devenues « bâtiment durable ». Elles doivent justement remplir ce rôle d'interface entre la recherche académique et les pratiques professionnelles.