De manière générale, je ne suis pas un partisan de la monétisation, mais je partage l'intention qui sous-tend l'amendement : donner des droits effectifs aux personnes en situation de handicap. Je propose donc de l'adopter, puisque le Gouvernement a la volonté manifeste d'aller dans cette direction. S'il dépose ensuite son propre amendement, cela ne lui posera pas de difficulté mais nous aurons déjà inscrit ce principe dans la loi, marquant ainsi notre volonté d'avancer. Au besoin, la séance nous permettra de poursuivre la discussion.