Je voudrais revenir sur le cas du CEA. Je suis d'accord avec M. Didier Roux sur le fait que, comparé à l'Allemagne, aux États-Unis, pays où énormément de recherches sont menées, à la Chine, à beaucoup d'autres pays, la recherche technologique française en matière de bâtiment reste quand même un parent pauvre. Le CEA n'est pour sa part actif dans ce domaine de recherche que depuis 5 ou 6 ans, avec peu de soutiens.
Pour faire un peu de recherches et préparer l'avenir, un soutien est vraiment nécessaire pour le CEA et le CSTB, qui sont d'ailleurs prêts à travailler ensemble, mais qui restent loin des modèles étrangers, par manque de moyens, avec des académies qui ont un peu baissé les bras, pour les raisons déjà mentionnées.