Il s'agit uniquement d'assurer la transparence et d'améliorer l'accompagnement par les CFA – en publiant les taux de rupture de contrat, nous leur montrons dans quel sens ils doivent aller. L'idée n'est absolument pas celle d'un classement.
Nous incluons d'ailleurs la valeur ajoutée, car nous ne sommes pas pour la sélection : nous voulons que les établissements fassent un effort d'accompagnement. Il s'agit d'une logique de sécurisation et d'aide aux jeunes, et je ne comprends décidément pas la réaction de M. Pierre Dharréville.
Les lycées professionnels sont aussi concernés. Un grand effort en matière de toilettage des diplômes devra être accompli afin de ne pas orienter les jeunes vers des formations qui ne seraient plus ou pas « insérantes ».