Alors que le projet de loi envisage une dynamisation de l'apprentissage, il ne faudrait pas que les personnes en situation de handicap soient oubliées.
Aujourd'hui seules 1 % d'entre elles bénéficient de formations en apprentissage. Pourtant la législation en vigueur a permis la mise en place d'un cadre qui leur est théoriquement favorable : il n'y a pas de limite d'âge, et les modalités sont aménagées, qu'il s'agisse du temps de travail en entreprise, de l'organisation du temps de formation en centre de formation, de la durée de l'apprentissage ou de la pédagogie.
Il s'agit d'impulser une dynamique positive qui permettra d'augmenter la part des personnes en situation de handicap dans les formations en apprentissage.