J'ai entendu dire tout à l'heure qu'il fallait prendre en compte les attentes du terrain. On ne peut pas se satisfaire que le haut impose sa vision au bas : il faut aussi qu'on entende ce que dit le terrain ! Vous allez prendre là une décision allant à l'encontre de l'avis de 100 % des élus, des entreprises et du corps social. Il est assez surprenant de dire que cela va aller mieux pour tout le monde en procédant ainsi alors que nous avons obtenu des résultats grâce à une gestion de proximité prenant en compte les spécificités de la Corse. Je ne pense pas qu'on puisse faire le bonheur des gens malgré eux, surtout si on ne les écoute pas !