Il est possible de revenir au concept de l'État tiers-investisseur dans une opération de réhabilitation qui, plutôt que de subventionner une rénovation n'apportant aucune réelle amélioration, prendrait des parts dans le bâtiment, ce qui le conduirait à avoir nécessairement un regard beaucoup plus précis, beaucoup plus intéressé à l'efficacité de ce qui va être mis en place.
Je suis d'accord sur le fait que la massification oblige à laisser réaliser systématiquement des rénovations sans étude préalable. Mais c'est aussi ce qui fait qu'on n'aboutit qu'à une réduction effective de seulement 1 %, en huit ans, de la consommation des bâtiments.