Cet amendement prévoit que le conseil d'administration de France compétences comprenne un député et un sénateur, afin que le Parlement puisse exercer sa mission de contrôle de cet établissement public de l'État. La demande est parfaitement légitime, car l'étude d'impact jointe au projet de loi rappelle que la nation garantit l'égal accès des adultes à la formation professionnelle. Intégrer un député et un sénateur dans le conseil d'administration de France compétences, c'est y intégrer la nation.