J'entends le procès d'intention. J'apporterai deux précisions : en premier lieu, nous avons convenu avec les représentants des régions et les partenaires sociaux de discuter de cette répartition en amont de la rédaction du décret. C'est la raison pour laquelle je ne prends pas position publiquement, ces discussions n'ayant pas eu lieu.
En second lieu, je rappelle qu'un président et un vice-président ne sont jamais du même collège, dans aucun organisme : sinon, le poste de vice-président perd sa raison d'être.