Je suis, comme mes collègues, un peu surprise de cette méthode qui consiste à apporter au projet de loi une modification d'une telle ampleur par le biais d'un amendement. Selon que l'on incline vers le vélo ou le tennis, on parlera de rétropédalage ou d'amortie… (Sourires.) Quoi qu'il en soit, je pense qu'il était indispensable de corriger le dispositif prévu à l'origine, en particulier pour ce qui concerne le secteur agricole au sujet duquel, nous avions déjà interpellé le Gouvernement.