Une solution avait été envisagée pendant la négociation interprofessionnelle ayant précédé l'élaboration du projet de loi. Elle permettrait de concentrer davantage les moyens et donc de mieux prendre en charge les personnes les plus fragiles. Cet amendement propose de limiter le bénéfice du dispositif de l'article 26 aux actifs les moins qualifiés. Le seuil de qualification maximal serait fixé par décret.