… alors qu'un vrai débat sur le statut de l'élu serait nécessaire. Tant qu'à faire, je propose de mettre les choses à plat. On peut par exemple s'interroger sur le train de vie dispendieux de l'Assemblée nationale : est-il ainsi vraiment nécessaire que la présidence de l'Assemblée dispose de trente-six contractuels, d'un budget de 3 374 679 euros et que les indemnités du président s'élèvent au double des nôtres ?