Et ce ne sera pas non plus en demandant aux branches existantes de satisfaire des besoins immédiats que l'on repensera les compétences d'avenir dans un territoire.
Le temps législatif programmé nous empêchera encore une fois de défendre nos amendements. Tout en m'associant au mécontentement et, parfois, à la colère, de notre ami Jean Lassalle, je constate que, contraints au silence, nous ne pourrons à nouveau pas défendre nos amendements.