L'entreprise, j'imagine, va procéder à des actions correctives. Elle va également se tourner vers la médecine du travail. Nous avons besoin des services de santé au travail pour aider notamment les PME dans les mesures à prendre – une modification du poste de travail, par exemple. C'est là tout l'intérêt des ingénieurs de prévention.
Au niveau de la branche AT-MP, les indicateurs de sinistralité nous contraignent à adopter des mesures prioritaires. Aujourd'hui, ces actions concernent les chutes de hauteur, les chutes de plain-pied et le risque chimique – en particulier les CMR.