Votre réponse nous étonne, madame la rapporteure, car elle est sans rapport avec le sujet de notre amendement. Nous proposons de permettre aux salariés d'abonder leur CPF par le versement de sommes correspondant à des jours de repos non pris, à condition que ce versement ne dépasse pas les dix jours annuels et qu'il ne s'applique qu'au-delà de vingt-quatre jours ouvrables.
Nous regrettons qu'une nouvelle fois, vous rejetiez nos propositions pourtant constructives. Manifestement, le nouveau monde n'aborde pas ce texte dans un esprit constructif, ce qui altère la qualité de nos travaux.