Vous me permettrez d'exprimer mon accord avec M. Larrivé : les moyens de contrôle dont disposent aujourd'hui les commissions des lois de l'Assemblée nationale et du Sénat sont très importants. Les informations les plus confidentielles sont communiquées à leurs présidents et rapporteurs respectifs. Vous comprendrez aisément que, pendant la Guerre de Quatorze, le comité parlementaire était informé des grandes lignes stratégiques, pas forcément de la tactique déployée sur le terrain. L'avis du Gouvernement reste donc défavorable.