Ce sujet me passionne, je pense que nous avons là un outil trop peu utilisé pour ce qui manque encore beaucoup, à savoir, la diplomatie parlementaire. Si l'on veut que les groupes d'amitié parlementaires approfondissent le travail qu'ils sont en train de faire, et qu'ils deviennent un vrai outil, je suggère que les groupes d'amitiés, dont on pourrait peut-être compléter le nom, soient gérés par cette commission. Ce serait peut-être une révolution, mais je vous rappelle que le précédent de ce que nous avons fait avec le Bundestag est quand même exemplaire. Nous avons réussi à construire un tissu bi-parlementaire de telle manière qu'une motion a été votée par les deux parlements dans les mêmes termes. Si seulement les groupes d'amitié parlementaire pouvaient créer ce genre de lien, voire des liens multipartites. Il faudrait en faire un outil beaucoup plus présent dans notre travail.