Monsieur le président, je voudrais rebondir sur vos derniers propos pour éviter toute confusion entre nous et sur l'appropriation éventuellement insuffisante du ministère des armées vis-à-vis de la dépense fiscale.
Une bonne part de cette soixantaine de millions d'euros de dépenses fiscales renvoie à des données personnelles de contribuables. Le ministère des armées n'est pas en situation de vous fournir ces éléments-là. Je vous propose de regarder sereinement ce que nous pouvons faire, mais je crains qu'une bonne partie de l'information ne soit du côté du ministère de l'action et des comptes publics. Nous ne cherchons pas à nous défausser mais nous n'avons pas toutes les informations.