Pour insister sur ce qu'ont dit les rapporteurs spéciaux, je vous demanderai si vous partagez ou non, monsieur le ministre d'État, le diagnostic selon lequel il y a une dispersion très importante des dispositifs d'hébergement d'urgence de toute nature, que les conditions d'hébergement sont très hétérogènes et que les coûts le sont aussi.
L'exercice sera donc compliqué pour les demandeurs d'asile eux-mêmes ainsi que pour ceux qui ont accès à l'hébergement d'urgence, mais aussi pour l'ensemble des services, et probablement très coûteux. Partagez-vous ce sentiment, et pensez-vous donner des perspectives dans les semaines ou les mois qui viennent sur ce sujet ?