Merci, monsieur le rapporteur pour avis. Nous avons bien conscience que le temps était compté, et les conditions de travail sont probablement trop rapides, pour de multiples raisons. Mais nous avions le choix entre commencer cette année, ou reporter l'exercice à l'année prochaine. Autant commencer cette année par une première version que nous pourrons améliorer ensuite.
Quant aux documents, nous avons obtenu les NEB et les RAP un peu plus tôt qu'habituellement. C'est un très bon moment pour que les rapporteurs, spéciaux et pour avis, reprennent l'ensemble des rapports en lien avec ce qu'ils voudraient évaluer. Je pense évidemment aux rapports de la Cour des comptes, et à ceux de nos missions d'évaluation et de contrôle. Le but est de rendre ces travaux importants le plus utile possible pour faire de cette initiative un temps d'évaluation et d'efficience. Vous avez raison, il faut rapprocher les indicateurs des moyens mis en oeuvre, avoir une opinion sur les indicateurs ; en bref : juger de l'efficience des politiques. Il ne suffit pas de dire qu'une politique a coûté 300 millions, il faut savoir si cela en vaut la peine. Cette mesure de l'efficience me semble au coeur de l'exercice, même si ce n'est probablement pas cette première année que nous y parviendrons au mieux. Nous atteindrons cet objectif au fur et à mesure.