Je souhaite insister sur un point soulevé par le rapporteur spécial et le rapporteur général : le caractère « fraudogène » du dispositif des C2E. Même s'il n'y a pas beaucoup d'argent public, de manière indirecte, quelqu'un paie une politique publique en achetant un bien. Dans quelle mesure l'administration et vous-même, monsieur le secrétaire d'État, êtes attentifs aux risques de fraude, et quelle est votre capacité à cantonner ce risque ?