Il s'inscrit dans le prolongement de ceux de Michèle de Vaucouleurs que nous venons d'adopter.
Puisque le contrat de professionnalisation est un outil permettant l'accès à l'emploi d'un certain nombre de publics, notamment les jeunes, les demandeurs d'emploi de moins de vingt-six ans et les bénéficiaires de minima sociaux, il nous paraît nécessaire d'élargir son champ autant que possible, de renforcer sa dimension inclusive et d'améliorer, dans cette perspective, sa complémentarité avec d'autres dispositifs, comme l'insertion par l'activité économique et les parcours emploi compétences.
À cet effet, il vous est proposé de faire un pas en avant substantiel et d'expérimenter un « contrat de professionnalisation-inclusion ». Les modalités de ce nouveau contrat facilitant l'accès à l'emploi de ceux qui en sont éloignés, seraient fixées par mon dispositif – je n'entre pas dans les détails. Cette expérimentation me paraît aller dans le sens de ce projet de loi.