Défavorable. À l'heure actuelle, les régions mènent des politiques différentes en matière de soutien à la mobilité, comme en matière de logement, ce qui est logique, puisque ces domaines dépendent des spécificités de chaque territoire. J'ai eu, au cours des derniers mois, de nombreuses discussions bilatérales avec les présidents de région ; certains m'ont indiqué vouloir conserver cette compétence, tandis que d'autres ont émis le souhait qu'elle figure dans le contrat. Pour ma part, je souhaite conserver de la souplesse, en discuter avec eux et trouver la convergence de vues la plus satisfaisante sur le sujet. Je n'ai pas de religion, a priori, sur cette question. En tout état de cause, le coût au contrat n'est pas défini dans le détail. Nous avons dit qu'il ferait l'objet de discussions entre l'État, les régions et les partenaires sociaux. La question des frais de transport et de logement fait partie de celles qui sont en discussion.